Barbie in love

Longtemps critiquée car jugée peu représentative, la belle blonde a su évoluer avec son temps. Je fais partie de ceux qui vouent un véritable culte à Barbie. Pourquoi ? Explication.

Quand on parle de Barbie, on a tous la même image en tête. Une blonde aux yeux bleus de trente centimètres et de rose vêtue. Barbie c’est une poupée, au sens propre et figuré du terme. Malléable on lui fait faire plein de trucs, on lui invente des vies de rêve, on la rend parfaite. 

Peu représentative des femmes, cantonnée à une image stéréotypée, condamnée à la perfection et à la réussite, Barbie a longtemps été critiquée. 

Accusée d’impulser une vague de conformisme et de provoquer un sentiment de culpabilité envers tous ceux qui ne correspondaient pas et/ou qui ne tendaient pas vers ce modèle, Barbie a fait coulé beaucoup d’encre.

Jusqu’au jour où elle s’est adaptée. 

Du stéréotype au symbol 

On aurait tort de réduire Barbie à cette image. Car la poupée Mattel des années soixante a bien changé. Plus ou moins ronde, plus ou moins grande, de tous les types et de tous les styles, elle exerce un nombre incalculable d’activités. Médecin, vétérinaire, hôtesse de l’air, prof, princesse, aventurière, maman… Barbie à plusieurs casquettes et sait tout faire : soigner les humains et les animaux, parler plusieurs langues, enseigner les maths, négocier des accords diplomatiques, faire un feu de camps tout en élevant ses enfants. Barbie, image vers laquelle nous devions tendre jadis est (re)devenu ce qu’elle est censé être : une poupée que l’on façonne à notre image. Elle doit laisser libre cour à notre imagination et non la contraindre. 

Barbie c’est la part de féminité qui sommeille en chacun.e.s d’entre nous. C’est toutes les femmes en un seul nom. Barbie c’est nous. C’est une icône. Pour tous. #BarbiePower

Sélection

Comme je m’amuse des stéréotypes, j’ai pris le parti de pousser le bouchon en vous proposant une sélection très très rose. Comme ça, pour faire exprès.